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L'eczéma ou la dermatite atopique (DA) commence souvent dans la petite enfance et la bonne nouvelle est que pour la plupart des enfants, il se résout spontanément vers l'âge de sept ans. Cependant, la DA n'aime pas se conformer et donc, pour certains, elle persiste jusqu'à la puberté, peut revenir plus tard à l'âge adulte et, pour les plus malchanceux, reste avec eux toute leur vie. Malheureusement pour certains enfants, l'apparition précoce de la DA signale également le début de la "marche atopique", avec l'apparition du rhume des foins et même de l'asthme, soit en tandem avec la DA, soit dans certains cas à sa place (1). En outre, alors que les garçons sont plus nombreux à recevoir un diagnostic d'allergies dans l'enfance, à l'âge adulte, les femmes sont nettement plus susceptibles de recevoir un diagnostic d'allergie alimentaire et la ménopause a été identifiée comme une période où les poussées de DA peuvent augmenter ou disparaître. (17,18). Alors pourquoi certaines personnes sont-elles atteintes de la DA ? Aider les clients atteints de la DA est ma vocation, car je souffre de cette affection depuis l'âge de 6 mois. Je suis tellement intéressée par ce sujet que je viens de terminer un Master of Science avec un mémoire intitulé : "Examiner comment la nutrition peut être utilisée comme un outil complémentaire pour le soutien de l'eczéma/la dermatite atopique chronique (DA)" et je vais partager certaines de mes connaissances ci-dessous : De multiples causes ont été identifiées, notamment une perturbation de la barrière cutanée, des mutations du gène de la filaggrine (FLG), un déséquilibre du microbiote intestinal (bactéries des intestins), ainsi que des déclencheurs immunologiques (allergies/intolérances) alimentaires et environnementaux, mais il n'existe toujours pas de définition de ce qui cause la DA. Cette absence de cause définitive conduit les dermatologues et les allergologues à dire à leurs patients que l'eczéma est incurable et qu'il ne peut être modulé que par l'utilisation de corticostéroïdes et d'autres crèmes et émollients topiques (2,3). Il existe cependant plusieurs domaines de recherche qui pourraient apporter plus de lumière. Vous avez peut-être entendu parler d’intestin poreaux, (leaky gut) mais il se pourrait que les personnes atteintes de la DA aient une peau qui est poreaux, ce qui pourrait être causé par la mutation d'un gène de protéine cutanée appelé filaggrine (FLG). Fondamentalement, la FLG sert à sceller la barrière cutanée et agit à la fois pour empêcher la perte d'eau et le passage d'agents pathogènes potentiels dans la circulation sanguine. En pratique, cela signifie que la perte d'eau crée la peau sèche, squameuse et qui démange si bien connue des personnes souffrant d'eczéma et la ‘peau poreaux’ pourrait permettre aux allergènes environnementaux et même alimentaires de passer, déclenchant une réaction immunitaire et une inflammation. On a découvert que jusqu'à 48 % des personnes atteintes de DA sont porteuses de ce gène FLG muté (FLG-null-allele), ce qui en fait un domaine de recherche très intéressant. (4-6). La recherche sur le gène FLG a également été liée à un autre domaine de recherche sur la DA, "l’hypothèses de double exposition aux allergènes" (12) relatives à une réponse immunitaire inappropriée. Ce domaine de recherche suggère que la " peau poreaux" affectée par le FLG expose la personne atteinte de DA à des antigènes alimentaires par le biais du toucher. La particule alimentaire pénètre dans la circulation sanguine via la peau et est rapidement identifiée comme un étranger par le système immunitaire de la personne. L'organisme passe alors en état d'alerte, déclenchant une inflammation et identifiant cet antigène alimentaire comme une menace future. Un cercle vicieux s'installe alors, l'inflammation provoquant de nouveaux dommages à la barrière cutanée et entraînant un risque encore plus grand d'exposition aux antigènes alimentaires et environnementaux. Des études récentes ont révélé que ce type d'exposition aux antigènes alimentaires peut entraîner des sensibilités et des intolérances alimentaires ultérieures. Elles fournissent une explication potentielle au fait que tant de personnes souffrant de la DA savent qu'elles réagissent à certains aliments, malgré des tests d'allergie négatifs. (13). Des études ont montré que les enfants atteints de DA présentent un risque plus élevé d'allergies alimentaires médiées par les IgE mais aussi d'allergies non médiées par les IgE (retardées) (14). Les diagnostics sont établis soit par une prise de sang pour tester les anticorps IgE spécifiques, soit par un test cutané (15). Parmi les autres tests possibles, citons le test ‘patch’, cutané de l'atopie, le test IgG et le régime d'élimination. Chez les enfants, il faut être prudent avec le régime d'élimination, car on pense que la consommation continue d'un aliment déclencheur permet de mieux le tolérer et que l'élimination de cet aliment du régime pendant une certaine période peut entraîner un risque accru d'allergie grave, voire d'anaphylaxie (16). Le microbiome intestinal est devenu un axe de recherche clé au cours de la dernière décennie, à la fois en termes de santé en général mais aussi spécifiquement en relation avec la DA. L'hyperperméabilité intestinale (leaky gut) et le déséquilibre du microbiome intestinal (bactéries) sont liés à une détérioration de l'immunité, à des taux plus élevés d'inflammation et au risque d'allergies et d'intolérances. Les patients atteints de la DA ont été identifiés comme présentant un risque plus élevé de ces deux phénomènes (10,11). Récemment, la recherche a commencé à se concentrer sur le microbiote de la peau (population bactérienne). Ces recherches ont permis d'identifier que les personnes atteintes d'eczéma atopique souffrent d'une dysbiose (déséquilibre) du microbiote cutané, avec un biais vers une population surdimensionnée de staphylococcus epidermidis et de staphylococcus aureus (7,8). Mon expérience clinique m'a souvent permis d’identifier des clients individuels qui démontrent un lien entre la dysbiose cutanée et intestinale (9) et c'est un domaine qui me passionne. Stratégies nutritionnelles Comme mentionné dans l'introduction, la DA n'aime pas se conformer. Bien qu'il existe des recommandations communes à toutes les personnes atteintes de la DA, il n'existe pas deux recommandations nutritionnelles identiques, tout comme il n'existe pas deux microbiotes cutanés ou intestinaux identiques. Ce qui peut fonctionner pour l'un, ne fonctionnera pas pour un autre. Soutenir les clients atteints de cette maladie de la peau implique de combiner de nombreuses informations acquis de la part de le client, avec les connaissances du praticien. Il s'agit de trouver le mode d'alimentation individualisé qui permet à cette personne de manger le plus varié possible, tout en étant conscient des aliments et des déclencheurs alimentaires et environnementaux qui peuvent provoquer une poussée. L'objectif principal est de donner à chaque client la possibilité d'avoir un sentiment de contrôle, tout en ayant les connaissances nécessaires pour relever de nouveaux défis, conformément aux tendances non-conformistes de la DA. Vous trouverez ci-dessous quelques-uns des principaux nutriments dont la recherche a montré qu'ils apportent un soutien aux personnes souffrant de la DA :
Alors que l'on pense depuis longtemps qu'une carence en zinc est liée à la DA, les études utilisant une supplémentation n'ont pas montré d'avantages (25,26). References:
1. Ring J, Zink A, Arents BWM, Seitz IA, Mensing U, Schielein MC, et al. Atopic eczema: burden of disease and individual suffering – results from a large EU study in adults. J Eur Acad Dermatology Venereol. 2019;33(7):1331–40. 2. Nutten S. Atopic dermatitis: Global epidemiology and risk factors. Ann Nutr Metab. 2015;66:8–16. 3. Lopez Carrera YI, Al Hammadi A, Huang YH, Llamado LJ, Mahgoub E, Tallman AM. Epidemiology, Diagnosis, and Treatment of Atopic Dermatitis in the Developing Countries of Asia, Africa, Latin America, and the Middle East: A Review. Dermatol Ther (Heidelb) [Internet]. 2019;9(4):685–705. Available from: https://doi.org/10.1007/s13555-019-00332-3 4. O’Regan GM, Sandilands A, McLean WHI, Irvine AD. Filaggrin in atopic dermatitis. J Allergy Clin Immunol. 2008;122(4):689–93. 5. Barbarot S, Aubert H. Physiopathologie de la dermatite atopique. Ann Dermatol Venereol. 2017;144:S14–20. 6. Bergqvist C, Ezzedine K. Vitamin D and the skin: what should a dermatologist know? G Ital di dermatologia e Venereol organo Uff Soc Ital di dermatologia e Sifilogr. 2019 Dec;154(6):669–80. 7. Szari S, Quinn JA. Supporting a Healthy Microbiome for the Primary Prevention of Eczema. Clin Rev Allergy Immunol. 2019;57(2):286–93. 8. Martinez KB, Leone V, Chang EB. Western diets, gut dysbiosis, and metabolic diseases: Are they linked? Gut Microbes [Internet]. 2017;8(2):130–42. Available from: http://dx.doi.org/10.1080/19490976.2016.1270811 9. Nakatsuji T, Gallo RL. The role of the skin microbiome in atopic dermatitis. Ann Allergy, Asthma Immunol [Internet]. 2019;122(3):263–9. Available from: https://doi.org/10.1016/j.anai.2018.12.003 10. Szari S, Quinn JA. Supporting a Healthy Microbiome for the Primary Prevention of Eczema. Clin Rev Allergy Immunol. 2019 Oct;57(2):286–93. 11. Rinninella E, Raoul P, Cintoni M, Franceschi F, Miggiano GAD, Gasbarrini A, et al. What is the healthy gut microbiota composition? A changing ecosystem across age, environment, diet, and diseases. Microorganisms. 2019;7(1). 12. Lack G. Epidemiologic risks for food allergy. J Allergy Clin Immunol. 2008;121(6):1331–6. 13. Tricon S, Willers S, Smit HA, Burney PG, Devereux G, Frew AJ, et al. Nutrition and allergic disease. Vol. 6, Clinical and Experimental Allergy Reviews. 2006. p. 117–88. 14. Abuabara K, Margolis DJ. Do children really outgrow their eczema, or is there more than one eczema? J Allergy Clin Immunol. 2013;132(5):1139–40. 15. Dhar S, Srinivas SM. Food allergy in atopic dermatitis. In: Indian Journal of Dermatology. 2016. 16. Finch J, Munhutu MN, Whitaker-Worth DL. Atopic dermatitis and nutrition. Clin Dermatol [Internet]. 2010;28(6):605–14. Available from: http://dx.doi.org/10.1016/j.clindermatol.2010.03.032 17. Chen W, Mempel M, Schober W, Behrendt H, Ring J. Gender difference, sex hormones, and immediate type hypersensitivity reactions. Allergy Eur J Allergy Clin Immunol. 2008;63(11):1418–27. 18. Pali-Schöll I, Jensen-Jarolim E. Gender aspects in food allergy. Curr Opin Allergy Clin Immunol [Internet]. 2019;19(3). Available from: https://journals.lww.com/co-allergy/Fulltext/2019/06000/Gender_aspects_in_food_allergy.12.aspx 19. Rusu E, Enache G, Cursaru R, Alexescu A, Radu R, Onila O, et al. Prebiotics and probiotics in atopic dermatitis. Exp Ther Med. 2019 Aug;18(2):926–31. 20. Kim MJ, Kim SN, Lee YW, Choe YB, Ahn KJ. Vitamin D status and efficacy of vitamin D supplementation in atopic dermatitis: A systematic review and meta-analysis. Nutrients. 2016;8(12):8–17. 21. Navarro-Triviño FJ, Arias-Santiago S, Gilaberte-Calzada Y. Vitamin D and the Skin: A Review for Dermatologists. Actas Dermosifiliogr. 2019 May;110(4):262–72. 22. Balić A, Vlašić D, Žužul K, Marinović B, Bukvić Mokos Z. Omega-3 Versus Omega-6 Polyunsaturated Fatty Acids in the Prevention and Treatment of Inflammatory Skin Diseases. Int J Mol Sci. 2020 Jan;21(3). 23. Williams HC, Chalmers J. Prevention of Atopic Dermatitis. Acta Derm Venereol. 2020 Jun;100(12):adv00166. 24. Thomsen BJ, Chow EY, Sapijaszko MJ. The Potential Uses of Omega-3 Fatty Acids in Dermatology: A Review. J Cutan Med Surg. 2020;24(5):481–94. 25. Gray NA, Dhana A, Stein DJ, Khumalo NP. Zinc and atopic dermatitis: a systematic review and meta-analysis. J Eur Acad Dermatol Venereol. 2019 Jun;33(6):1042–50. 26. Vaughn AR, Foolad N, Maarouf M, Tran KA, Shi VY. Micronutrients in Atopic Dermatitis: A Systematic Review. J Altern Complement Med. 2019 Jun;25(6):567–77.
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Nous sommes de plus en plus nombreux à vouloir modifier notre alimentation pour mieux soutenir notre planète, mais beaucoup d'entre nous ne savent pas comment soutenir nos objectifs sans compromettre notre nutrition.
C'est un domaine pour lequel j'ai un intérêt particulier. En février 2019, j'ai publié un article intitulé Recommandations nutritionnelles à l'ère du changement climatique dans le bulletin de mon association professionnelle (bant.org.uk). Comme de plus en plus de clients viennent me voir pour me demander de l'aide dans ce domaine, j'ai pensé qu'il serait préférable d'entreprendre une formation complémentaire et de vérifier si mes connaissances sont toujours d'actualité pour pouvoir soutenir au mieux mes clients. La semaine dernière, j'ai assisté au cours Sustainable Food Choices Nurturing Human Health and the Planet, organisé par @christinebailey pour @ION, auquel participait également la très compétente @realfoodcampaign. En combinant les connaissances issues de mes propres recherches et du cours de la semaine dernière, voici mes principaux conseils !
Cela vous semble-t-il familier ?
L'une des solutions proposées pour aider à soutenir la planète est d'introduire davantage de repas à base de plantes dans notre alimentation, et avec les options végétaliennes et végétariennes devenant plus facilement disponibles, beaucoup d'entre nous adoptent cette nouvelle façon de manger avec enthousiasme. Le problème, c'est qu'un changement radical de régime alimentaire en peu de temps peut entraîner une foule de problèmes digestifs, notamment des ballonnements, des indigestions, des flatulences et des douleurs. Il est important de noter ici que tout problème digestif persistant doit être examiné par votre médecin généraliste, mais si vous pouvez relier les symptômes digestifs à votre nouveau régime alimentaire, la réponse peut simplement être que votre intestin et les bonnes bactéries (microbiote) qu'il abrite ne sont pas prêts à digérer ces aliments. Nous avons tous une variété de bactéries différentes dans notre intestin et des bactéries différentes aiment manger des choses différentes. Si vous avez toujours été un mangeur de viande et de légumes, votre microbiome sera orienté vers ces aliments. Si vous avez traditionnellement rarement mangé des légumineuses et votre consommation de fibres était faible, la population de bactéries qui aime ces aliments peut être petite et avoir du mal à faire face à l'afflux soudain. Il n'y a tout simplement pas assez de ces bactéries pour traiter le nouveau régime alimentaire. Le secret est d'augmenter progressivement votre consommation d'aliments à base de plantes plutôt que de vous lancer soudainement dans l'aventure. Au fur et à mesure que vous augmentez votre consommation de fibres et de légumineuses telles que les pois chiches, les lentilles, les haricots et les pois, la population de bactéries qui aiment ces aliments va augmenter et vous pourrez donc en tolérer davantage. Malheureusement, l'un des principaux signes de l'expansion de cette population est la flatulence, mais si vous y allez progressivement, elle devrait être temporaire et s'estomper à mesure que votre intestin s'habitue à son nouveau régime. Le panais, un légume qui fait un retour bien mérité en France, fait partie de la famille des ombellifères, au même titre que le persil, les carottes et le céleri.
Les panais sont d'un blanc crémeux et sont souvent nettement plus gros que les carottes. Les racines ont un léger parfum de céleri-rave et une saveur douce et noisetée. Le panais est une bonne source de fibres, de protéines et de vitamine C. Le panais est également une bonne source d'acide folique, ce qui en fait un aliment idéal pendant la grossesse. Les panais sont préparés de la même manière que les pommes de terre et peuvent être réduits en purée, écrasés ou ajoutés aux soupes et aux ragoûts. Ils sont également délicieux cuits à l'eau, puis rôtis au four avec un peu d'huile d'olive et d'assaisonnement jusqu'à ce qu'ils soient croustillants à l'extérieur et moelleux au centre. Surveillez les recettes de panais qui apparaîtront sur mon site Web en début de semaine prochaine, en plus de mes autres recettes. Lien : www.jessicafonteneaunutrition.com Prenez soin de vous Jessica ll y a moins de tabou autour de la ménopause et de sa précurseure la périménopause, mais ce sont encore des sujets dont on parle peu.
La périménopause peut être l'une des périodes les plus difficiles à comprendre pour les femmes. Une minute, vous êtes jeune, pleine d'énergie pour faire toutes les choses que vous voulez faire dans votre vie et, bien qu'il puisse y avoir des défis et que vous puissiez manquer de temps, la vie, si vous y repensez, vous semble plutôt bien. Puis, tout à coup, l'âge vous rattrape et vous ne vous sentez plus tout à fait la même personne qu'avant. Vous commencez à vous fatiguer plus facilement, certains jours vous êtes déjà épuisé, et vous venez à peine de sortir du lit. Le poids que vous aviez l'habitude de perdre facilement reste maintenant obstinément en place, quel que soit le nombre de vos vieux astuces pour perdre du poids que vous déployez. Votre cerveau est brumeux, comme si vous pataugiez dans la mélasse, mais cela ne peut pas être lié à la ménopause, vous êtes bien trop jeune ! On considère que vous êtes ménopausée lorsque vous n'avez pas eu de règles depuis au moins un an. Cependant, la période précédant ce moment, appelée périménopause, peut durer des années, voire une décennie ! La périménopause est une période de transition que les femmes connaissent généralement à partir de la quarantaine, bien que, comme pour tout, il y ait toujours des exceptions à la règle, certaines la connaissant dès la trentaine et d'autres pas avant le début de la cinquantaine. Pendant la périménopause, les niveaux d'œstrogènes, l'une des principales hormones sexuelles féminines, commencent à devenir légèrement plus irréguliers. Votre cycle peut devenir plus long ou plus court, votre flux peut changer, devenir plus lourd ou plus léger, vous pouvez souffrir de symptômes prémenstruels plus forts que jamais. Vous pouvez également sauter certaines règles au point de penser - aha, c'est fini pour moi alors - pour qu'elles reviennent en force. Les symptômes habituellement liés à la ménopause peuvent également apparaître pendant la périménopause. Il s'agit notamment des symptômes suivants
Si vous présentez certains de ces symptômes, il convient de garder deux choses à l'esprit : Les fibromes sont plus fréquents pendant la périménopause. Les symptômes des fibromes sont des saignements entre les règles, des caillots de sang pendant les règles et des règles nettement plus courtes ou plus longues. Si vous ressentez l'un de ces symptômes, veuillez consulter votre médecin. Dysfonctionnement de la thyroïde. Si vous avez des problèmes d'énergie, il est toujours utile d'aller chez le médecin et de faire vérifier vos niveaux. Les symptômes thyroïdiens peuvent imiter les symptômes de la ménopause et les ovaires, l'utérus, les glandes surrénales et le cerveau ont tous besoin de bons niveaux d'hormones thyroïdiennes pour fonctionner correctement. La Nutrition La stabilité de la glycémie est un élément clé de la gestion des symptômes de la ménopause et de la périménopause. Voici mes meilleurs conseils :
Parfois, nous avons tous besoin d'une petite remise à zéro du sucre. Plus vous mangez de sucre, plus il en faut la fois suivante pour avoir le même effet. J'ai publié mon mini-programme populaire et absolument gratuit, Une semaine pour réduire vos envies de sucre, sur mon site Web afin qu'il soit accessible à tout moment Phyto-œstrogènes - Que sont-ils et pourquoi en avez-vous besoin ? En matière de régime alimentaire, la nourriture est bien plus que des macronutriments comme les protéines, les glucides et les lipides. Nous savons tous que les vitamines et les minéraux constituent une part importante des aliments que nous consommons, mais que savez-vous des phytoestrogènes ? Il s'agit de substances chimiques naturelles d'origine végétale, dont la structure est similaire à celle des œstrogènes et qui exercent un faible effet œstrogénique. Ils sont particulièrement utiles pour les femmes car ce sont des adaptogènes. Cela signifie qu'ils peuvent soit reproduire soit contrecarrer les effets des œstrogènes et qu'ils sont particulièrement utiles si vous êtes en périménopause, si vous souffrez d'endométriose, de fibromes ou du syndrome prémenstruel. En quoi les phytoestrogènes peuvent-ils vous aider ?
Il existe trois types de phytoestrogènes : les isoflavones, les lignanes et les coumestanes.
Conférence mensuelle gratuite de 30 minutes. Le webinaire gratuit de 30 minutes de ce mois-ci a pour thème la ménopause et la périménopause ou pré-ménopause. Inscrivez-vous via ce lien https://p.bttr.to/3tEAYbn pour obtenir des conseils utiles sur les aliments à inclure ou à éviter pendant ce chapitre naturel de la vie. Vous aurez également l'occasion de poser des questions à la fin du séminaire. L'expression "dysrégulation métabolique" peut vous laisser perplexe. Qu'est-ce que c'est et en quoi cela me concerne-t-il ? Je peux vous entendre dire. L'une des situations suivantes vous semble-t-elle familière ?
Si notre métabolisme est en difficulté en raison de l'alimentation qu'il reçoit ou de notre mode de vie, cela peut déclencher une réaction en chaîne de problèmes de santé, allant de l'inoffensif muffin top à l'hypercholestérolémie, en passant par une pression artérielle rampante et des déséquilibres de la glycémie. La plupart des gens associent le métabolisme à la perte ou au gain de poids. J'ai souvent entendu des clients dire qu'ils avaient un "métabolisme lent" parce qu'ils trouvaient la perte de poids plus lente qu'ils ne l'espéraient, mais c'est plus complexe que cela. Le métabolisme est littéralement à la source de tous les processus de notre corps. Notre métabolisme n'est pas une chose unique, c'est une myriade de processus qui décompose les nutriments des aliments et les transforme en énergie et en composants qui aident à soutenir toutes les cellules, les organes et les systèmes du corps. Il s'agit donc de bien plus qu'une question de prise et de perte de poids. Bien que le fait d'avoir un poids sain soit un élément clé du maintien d'un métabolisme sain. ![]() IMC (indice de masse corporelle) Qu'est-ce qu'un poids santé ? Eh bien, cela dépend d'un certain nombre de facteurs. Votre taille et votre poids pour commencer, votre niveau d'athlétisme et de musculation et votre stade de vie. Vous avez probablement entendu parler de l'IMC - indice de masse corporelle - que la plupart des professionnels de la santé utilisent comme base pour mesurer le paramètre du poids santé. La formule de calcul de l'IMC (métrique) est IMC= Kg/M2 mais il existe des dizaines de calculateurs d'IMC disponibles sur le net ou dans l'app store qui vous permettent de le vérifier facilement. Un IMC normal est considéré comme se situant entre 18,5 et 24,9. Le surpoids se situe entre 25 et 29,9. On parle d'obésité si l'IMC est supérieur à 30. Notez toutefois que si vous êtes très sportif et musclé, vous pouvez avoir un IMC élevé tout en ayant un métabolisme très sain. Il est donc toujours utile de consulter un professionnel de la santé ou de la nutrition avant de modifier vos habitudes alimentaires et votre mode de vie. ![]() Rapport taille/hanche Une autre méthode de mesure est le rapport taille/hanche. Prenez un mètre à ruban et mesurez votre taille à l'endroit le plus étroit, juste au-dessus du nombril. Mesurez ensuite vos hanches dans leur partie la plus large. Divisez le tour de taille par le tour de hanches. Pour les hommes : Risque faible pour la santé : 0,95 ou moins Risque modéré pour la santé : 0,96-1 Risque élevé pour la santé : 1 et plus Pour les femmes Risque faible pour la santé : 0,80 ou moins Risque modéré pour la santé : 0,81 à 0,85 Risque élevé pour la santé : 0,86 ou plus Analyse de la composition corporelle La santé métabolique ne se résume pas à l'IMC ou au rapport taille/hanche. Une analyse de la composition corporelle peut être effectuée avec un praticien de la nutrition, à la salle de sport ou même à la maison avec une balance de composition corporelle de base, mais attention à la précision ! Une analyse de la composition corporelle vous donne des informations supplémentaires, notamment sur la masse grasse par rapport à la masse musculaire, l'emplacement de la graisse dans le corps, la quantité de graisse viscérale (la graisse viscérale est celle qui est située près de vos organes et qui peut causer le plus de dommages pour la santé), le pourcentage d'eau et la masse osseuse. Toutes ces informations peuvent fournir un aperçu beaucoup plus clair de votre santé. ![]() Comment l'alimentation et le mode de vie peuvent-ils aider ? Si vous revenez à l'idée que votre métabolisme, qui est à la base de tous les processus de votre corps, dépend de la nourriture que vous mangez, il devient clair que votre alimentation peut avoir un impact sur votre métabolisme et votre santé. Il a également été démontré que des facteurs liés au mode de vie, tels que la sédentarité (rester assis trop longtemps) et le manque de sommeil, ont un impact durable sur le métabolisme d'une personne, ce que nous aborderons dans un prochain blog. Il est important de se rappeler, cependant, qu'il n'existe pas de solution unique. La raison pour laquelle il y a tant de clans de régimes différents qui proclament que leur façon de manger est la solution à tout, c'est que toutes ces façons de manger conviennent à certaines personnes, mais pas à tout le monde. Je me suis formée à la thérapie nutritionnelle exactement parce que je ne crois pas que nous puissions tous suivre la même chose et obtenir les mêmes résultats. Ce fait est confirmé à maintes reprises dans la pratique clinique. Chaque personne doit trouver la meilleure façon de se nourrir, celle qui lui convient le mieux sur le plan métabolique et qui est viable pour elle à long terme. ![]() Les aliments à réduire au minimum Les données scientifiques s'accumulent contre les aliments produits à partir d'ingrédients extraits ou raffinés d'aliments entiers ou les aliments et boissons ultra-transformés (UPFD). Ces types d'aliments et de boissons sont partout autour de nous. Les produits de boulangerie, tels que les biscuits et les gâteaux, constituent le groupe le plus important de la catégorie des aliments ultra-transformés et nous savons tous combien il est facile de prendre un biscuit au chocolat avec notre tasse de thé. Les boissons gazeuses représentent la part du lion du marché des boissons DFPU. Combien de fois ajoutez-vous une canette à votre repas ? De nombreuses études ont été publiées au cours de la dernière décennie, montrant encore et encore le lien entre la consommation régulière de boissons gazeuses sans alcool et les problèmes de santé. Ceux-ci vont du cancer aux maladies cardiovasculaires, aux maladies respiratoires et au diabète. Les aliments à réduire au minimum Les données scientifiques s'accumulent contre les aliments produits à partir d'ingrédients extraits ou raffinés d'aliments entiers ou les aliments et boissons ultra-transformés (UPFD). Ces types d'aliments et de boissons sont partout autour de nous. Les produits de boulangerie, tels que les biscuits et les gâteaux, constituent le groupe le plus important de la catégorie des aliments ultra-transformés et nous savons tous combien il est facile de prendre un biscuit au chocolat avec notre tasse de thé. Les boissons gazeuses représentent la part du lion du marché des boissons DFPU. Combien de fois ajoutez-vous une canette à votre repas ? De nombreuses études ont été publiées au cours de la dernière décennie, montrant encore et encore le lien entre la consommation régulière de boissons gazeuses sans alcool et les problèmes de santé. Ceux-ci vont du cancer aux maladies cardiovasculaires, aux maladies respiratoires et au diabète. Principaux conseils pour une alimentation favorable à la santé métabolique
Si vous souhaitez obtenir de l'aide pour revoir votre alimentation, n'hésitez pas à me contacter pour un entretien gratuit et sans engagement. Vous pouvez prendre rendez-vous sur mon site Web : www.jessicafonteneaunutrition.com. Même avant la pandémie mondiale qui met à rude épreuve la santé mentale de chacun, la dépression et l'anxiété étaient les troubles de santé mentale les plus courants dans le monde, sans compter les personnes qui souffrent de troubles de l'humeur et d'anxiété, mais qui ne consultent pas de médecin à ce sujet.
Aujourd'hui, les aliments et les boissons, en particulier les produits ultra-traités, sont considérés comme une récompense par l'industrie alimentaire, ce qui a conduit les gens à se tourner vers ce qu'ils perçoivent comme des "aliments de réconfort" lorsqu'ils sont déprimés ou stressés. Le problème est qu'avec la société moderne telle qu'elle est, l'homme passe plus de temps que jamais à se sentir démoralisé et stressé. COVID-19 ne fait qu'amplifier ce sentiment de malaise déjà existant. Au cours des dix dernières années, la communauté des chercheurs s'est davantage intéressée au lien entre ce que nous mangeons et ce que nous ressentons. Les aliments réconfortants auxquels les gens ont tendance à se tourner sont riches en glucides et en sucres qui ont un effet immédiat sur notre taux de glycémie, le faisant monter en flèche. Le problème, c'est que ce qui monte doit redescendre et que la baisse significative du taux de sucre dans le sang qui s'ensuit entraîne un autre effondrement de l'humeur et de l'énergie, ce qui conduit à une nouvelle tentative d'augmenter les niveaux en mangeant plus d'aliments riches en glucides/sucres. Les montagnes russes de l'humeur. Saviez-vous que les régimes alimentaires riches en glucides raffinés et en sucre sont également inflammatoires ? On a constaté qu'une inflammation à long terme ou chronique est liée à un risque plus élevé de dépression, ce qui pourrait entraîner des dommages potentiels à notre microbiome... Notre microbiome - ou la population de bactéries dans notre gros intestin - a une liaison directe avec notre cerveau et vice versa. Il a été démontré que si notre microbiome n'est pas en ordre et est moins varié, cela a également un impact sur l'humeur et le risque de dépression. La perméabilité intestinale ou "fuite intestinale", qui est en fait une doublure intestinale permettant aux particules de passer dans le flux sanguin qui auraient dû rester dans l'intestin et être évacuées, est également liée à la dépression, probablement par la diminution de la disponibilité de la sérotonine. La sérotonine agit comme un neutrotransmetteur, essentiellement un messager qui relaie le message d'une partie du corps à l'autre. La sérotonine agit dans le cerveau, mais aussi sur les systèmes cardiovasculaire (cœur), musculaire et endocrinien (hormones). La sérotonine est devenue bien connue grâce à son inclusion dans les médicaments antidépresseurs qui sont basés sur les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine, malgré le fait que les scientifiques ne savent toujours pas quel rôle la sérotonine joue réellement dans le cerveau et pourquoi des niveaux de sérotonine plus faibles conduisent à la dépression. La seule chose que nous savons, c'est que chez certaines personnes qui utilisent des ISRS pour augmenter la quantité de sérotonine dans le cerveau, cela a un effet sur l'humeur. Une chose est sûre, cependant, seulement 10% de la sérotonine se trouve dans le cerveau. Les 90 % restants se trouvent dans l'intestin. Pour que les taux de sérotonine fonctionnent bien, il est donc essentiel de veiller à ce que la santé de votre intestin soit optimale. La semaine prochaine : Conseils nutritionnels pour favoriser la santé intestinale et le bien-être mental. Eating more plant foods is definitely a positive way forward, for health and the environment. Being completely vegan isn’t, however, what our human bodies are made for. With this in mind it is important to avoid the potential vegan pitfall if you decide to go completely plant-based versus omnivore.
The bottom line is that we are all individual. Each of us reacts to our food, our lifestyle and our environment in a completely different way. During January I am publishing information on how to navigate a plant-based diet for skin health and at the end of the month those signed up to my newsletter Over the month of January I will be publishing useful information on how to best navigate a plant-based diet for skin health and will be publishing weekly plant-based recipes. You can follow me on Facebook and Instagram. If you sign up to my newsletter via my website: www.jessicafonteneaunutrition.com you will receive a printable summary of all of the information and more, plus four bonus skin-friendly plant-based recipes. My newsletter is published each last Saturday of the month. You can unsubscribe at any time. On Saturday 30th January 2021 I will also be publishing a new free eBook: How to Identify Which Foods Trigger YOUR Atopic Eczema (dermatitis). If you want to get a copy, please sign up for my newsletter as above and you will receive a copy as soon as it is published. Take care and may you remain itch-free. Jessica Manger plus d'aliments d'origine végétale est sans aucun doute une bonne façon de procéder, pour la santé et l'environnement. Cependant, notre corps humain n'est pas fait pour être complètement végan. Dans cette optique, il est important d'éviter les pièges potentiels du véganisme si vous décidez d'opter pour une alimentation entièrement végétale plutôt qu'omnivore.
L'essentiel est que nous sommes tous des individus. Chacun d'entre nous réagit à son alimentation, à son mode de vie et à son environnement d'une manière totalement différente. Au cours du mois de janvier, je publierai des informations sur la manière de suivre un régime alimentaire à base de plantes pour la santé de la peau et à la fin du mois, les personnes qui se sont inscrites à ma newsletter. Au cours du mois de janvier, je publierai des informations utiles sur la manière de suivre un régime alimentaire à base de plantes pour la santé de la peau et je publierai des recettes hebdomadaires à base de plantes. Vous pouvez me suivre sur Facebook et Instagram. Si vous vous inscrivez à ma newsletter via mon site web : www.jessicafonteneaunutrition.com, vous recevrez un résumé imprimable de toutes les informations et bien plus encore, ainsi que quatre recettes végétales en prime pour la peau. Ma newsletter est publiée chaque dernier samedi du mois. Vous pouvez vous désabonner à tout moment. Le samedi 30 janvier 2021, je publierai également un nouveau livre électronique gratuit : Comment identifier les aliments qui déclenchent votre eczéma atopique (dermatite). Si vous souhaitez en obtenir un exemplaire, veuillez vous inscrire à ma newsletter comme indiqué ci-dessus et vous recevrez un exemplaire dès sa publication. Soyez prudent et faites en sorte de ne pas avoir de démangeaisons. Jessica |
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February 2023
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